Fortran, systèmes experts, réseaux de neurones, agents codants : 30 ans de trajectoire IA, sans ligne droite.

Mon parcours personnel avec l'IA

Adolescent, je passais mon temps libre à coder sur Apple II (call -151 pour les nostalgiques). Mon premier contact avec l'IA, c'était en Prolog il y a 35 ans pendant mes études. Pendant ma thèse de Physique théorique, je travaillais à la résolution de l'équation de Shrödinger par diffusion de trajectoires stochastiques, conceptuellement proche des actuels procédés de score diffusion utilisés dans la génération d'image par IA (Stable Diffusion, DALL-E).

Les premières briques IA

Puis, j'ai basculé dans l'univers des startups à la fin du millénaire. Immobilier, musique, finance : beaucoup de compromis face aux ressources limitées. Il fallait faire des choix. C'est là que j'ai implanté mes premières briques IA :

• Systèmes de recommandation musicale basés sur les comportements utilisateurs et les métadonnées
• Réseaux de neurones pour anticiper des patterns dans les séries temporelles des marchés futures

L'ère moderne de l'IA

Aujourd'hui, les ressources ne sont plus un frein. Les modèles sont préentraînés. Le cloud fait le reste. Mais un nouveau défi s'impose : braver la complexité technique.

Le futur de l'IA et du développement

Avec Fondation, on préserve le rôle central de l'humain pour que chaque expert puisse se concentrer sur la créativité et la stratégie grâce à une interaction avec l'IA la plus fluide et efficace possible. La logique métier reste entre les mains de ceux qui savent.

Ce n'est pas la fin du code. C'est le retour de l'ingénierie.

Réflexion finale

Un like si vous avez reconnu une étape de votre propre parcours. Quelle phase de l'évolution de l'IA vous a le plus marqué ?

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Publié le 11 juin 2025